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Un camp d’été bilingue pour les adeptes des mathématiques
Ce camp regroupe près de cinquante élèves francophones et anglophones de la 10e année.
Ce camp regroupe près de cinquante élèves francophones et anglophones de la 10e année.
Un nouveau CV descriptif sera bientôt adopté par les organismes subventionnaires pour tous les concours.
« Il faut comprendre que les établissements d’enseignement supérieur n’ont pas été conçus pour la diversité », explique Wendy Rodgers.
Le gouvernement canadien veut renforcer les communautés francophones en situation minoritaire en accueillant des étudiantes et étudiants étrangers d’expression française qui souhaitent poursuivre des études postsecondaires en dehors du Québec.
Un programme de soutien par des membres du personnel volontaires formés en premiers soins en santé mentale pour aider leurs collègues.
Les regroupements d’établissements postsecondaires jugent que « tout n’est pas noir » et accueillent favorablement la transparence du gouvernement quant à ses cibles des deux prochaines années.
« Les universités sont le meilleur endroit pour tenir ce genre de conversations difficiles, » dit Mira Sucharov.
L’ex-joueuse de soccer fait tomber les barrières.
Les 160 étudiantes et étudiants qui suivent le programme reçoivent une formation globale en matière de santé.
L’hiver dernier, l’Université Laurentienne a adopté un nouveau plan stratégique, comme le voulait le Plan d’arrangement avec les créanciers. Ce document porte l’espoir d’une « voie positive » pour l’institution. La communauté francophone reste aux aguets.
Les politiques scientifiques font de plus en plus mention de libre accès diamant. Mais, de quoi s’agit-il exactement ?
Le texte garantit que les universités ne seront pas soumises aux lois sur la faillite, et soulève des questions sur leur avenir financier.
La réforme, bien que globalement bien accueillie, suscite des grognements en raison de la mesure sur la bonification du financement des inscriptions et de la diplomation dans certains programmes jugés prioritaires.
Les opposantes et opposants au projet de loi estiment que ce dernier menace la liberté universitaire, l’autonomie institutionnelle et l’avenir du secteur de l’enseignement postsecondaire en Alberta.