Les trois options proposées par le groupe d’expert.e.s concernant les petites universités de langue française sont rejetées par les principaux intéressés.
Pendant que l’Université de Sudbury fait face à un mur, les autres universités franco-ontariennes enregistrent des inscriptions records.
Les leçons apprises sont multiples, mais assurer une bonne gouvernance des universités demeure en tête de liste.
Son Plan d’arrangements avec les créanciers ayant été approuvé, l’établissement pourrait cesser d’être sous la protection de la LACC avant la fin de l’année.
Une structure qui serait en partie inspirée par l’Université du Québec et visant à encourager la collaboration et à améliorer l’offre de programmes.
La fin annoncée des mandats de deux dirigeants de l’Université Laurentienne fait davantage consensus que son Plan d’arrangements avec ses créanciers.
Quatre récents documents brossent un premier portrait de ce qui a causé les problèmes de l’université bilingue du Nord de l’Ontario et offrent des pistes pour améliorer la situation.
Plus que jamais, professeurs et employés s’appuient sur la réussite des étudiants pour se motiver.
Un coup d'œil interactif sur les faits saillants de la plus récente année de l’établissement.
Les Franco-Ontariens surveillent de près leur nouvelle université; la pression est forte pour qu’elle justifie rapidement sa raison d’être.
Le conseil des régents a choisi un professeur d’histoire mis à pied par l’Université Laurentienne pour mener à bien la transformation annoncée de l’établissement.